L’expertise historique en parfumerie, un parfumeur créateur Maison et un laboratoire situé au cœur du triangle d’or de Paris prédisposait la marque à répondre à cette attente. Le processus de création est un réel travail d’orfèvre qui implique l’engagement en temps et en réflexion du client ou de la cliente.

Bruno Cottard, Vice-President of Jean-Patou

Thomas Fontaine, le parfumeur Maison entreprend au cours de 5 à 10 entretiens d’entrer dans l’histoire de la personne, de découvrir l’univers olfactif qui est le sien et de traduire cette personnalité par une signature. « Il convient de comprendre ce que la personne est inconsciemment et ce qu’elle souhaite projeter », commente le parfumeur. Durant 6 mois, différentes propositions sont faites en fonction des matières premières retenues, toujours avec la garantie d’une qualité d’exception des ingrédients. L’accord rose/jasmin de Grasse, cher aux parfums Patou, reste le fil conducteur qui donnera à la création originale sa Patounade. Les pistes se resserrent jusqu’au résultat final.

La Maison se charge des démarches administratives et règlementaires puis produit 5 litres de parfum qui seront conservés dans un coffre au siège.

Au terme de 9 à 12 mois et pour le prix de 50 000 euros, l’heureux propriétaire se voit remettre un flacon de 100 ml en cristal de Baccarat dessiné par Jean Patou et gravé aux initiales, armes ou monogrammes du propriétaire. Le tout est présenté dans un coffret en bois, cuir ou tissu, réalisé par les ateliers des sociétés Elie Bleu, Pinel et Pinel, ou Norline.

Au terme de 9 à 12 mois, un flacon de 100 ml en cristal de Baccarat dessiné par Jean Patou est remis au propriétaire.

« Nous estimons qu’environ 4000 personnes peuvent être concernées par cette offre, il ne s’agit donc pas d’un marché en soi, mais il est important pour le prestige d’un Maison comme la nôtre d’offrir une prestation de haute parfumerie unique à des gens qui peuvent se le permettre,  » explique Bruno Cottard.

Plusieurs contacts en Europe et aux États-Unis sont déjà pris, puis la marque entend laisser fonctionner le « nez à oreille  » jusqu’aux clients comptés d’un sillage exclusif.