Le fabricant de composants en métal Federico Ferrer a été récemment rebaptisé à la suite d’une fusion avec son compatriote Mar-Explot de Thomas Group en 2011. Devenue Thomas Cosmética de España, la société a relocalisé ses activités sur un nouveau site plus fonctionnel à Valence, en Espagne.

Stefan Benito, directeur des ventes de Thomas Group

Le nouveau nom illustre l’évolution de l’entreprise depuis l’acquisition par Thomas Group et ses nouvelles ambitions de croissance future.

« Il y avait une opportunité de fusionner les talents, les ressources et les synergies. De cette façon, nous avons créé une société plus forte, plus compétitive. Avec le soutien de Thomas Group, Thomas Cosmética a l’aide financière et opérationnelle pour maintenir une courbe de croissance régulière. Cette fusion apporte des améliorations dans la capacité de production et fournit le milieu bien nécessaire pour une expansion future, » explique Le Stefan Benito, directeur des ventes de Thomas Group.

Thomas Cosmética dispose maintenant de 13,500m2 d’installations de production réparties sur deux sites industriels. Ces sites accueillent les machines nécessaires pour la ligne d’anodisation et l’équipement d’emboutissage profond pour la production de pièces métalliques sur mesure destinées au packaging cosmétique de luxe.

Rouge à lèvres Lolita Lempicka (Thomas Cosmética a réalisé le capot à l’aide d’un processus de double anodisation)

« Notre objectif reste le segment haut de gamme du marché de la cosmétique, » explique Miguel Sánchez, directeur commercial de Thomas Cosmética. « Les employés clés de Federico Ferrer ont déménagé à Valence et continueront leur travail de spécialistes. Mais celui-ci sera pourra maintenant s’appuyer sur de nouvelles capacités industrielles et de nouveaux investissement, leur donnant ainsi plus de liberté et plus de potentiel pour le développement de nouveaux produits. »

Avec un effectif de 110 personnes, Thomas Cosmética compte les plus grandes marques de cosmétique du monde parmi ses clients. Les nouvelles installations industrielles sont déjà pleinement opérationnelles.