Reboul, spécialiste de la transformation du métal et de la conception d’emballages cosmétiques haut de gamme en laiton et aluminium, inventeur du mécanisme de rouge-à-lèvres R2000, présentera deux nouveaux mécanismes de rouge à lèvres lors du prochain Luxe Pack New York, les 11 et 12 mai prochains au Pier 92, au cœur de Manhattan, ainsi qu’à l’occasion du salon MakeUp in Paris en juin.

Depuis le 1er septembre 2014 l’ensemble des ateliers de production et des services est installé dans un nouveau site de 7000 m2 regroupant les services administratifs, la R&D, la transformation du métal (de l’emboutissage jusqu’au parachèvement), la décoration des pièces, l’assemblage multi-matériaux des produits. Photo : © Reboul SAS

Au premier rang, le RClips, qui se présente comme une version améliorée du R2000, avec une accroche mécanique sans collage entre la gaine métal et sa spirale. Selon la société, cette conception permet un couple régulier constant et une meilleure tenue au test climatique.

L’autre nouveauté, le RBackfilling, est un mécanisme inédit composé de seulement deux pièces plastiques et d’une gaine métal, le tout dans un alignement parfait et sans gonflage. « C’est idéal pour les habillages fins, permettant un remplissage par coulage par l’arrière pour les pâtes souples, » explique-t-on chez Reboul. «  Le remplissage est également possible par piquage. »

Ces deux mécanismes seront recyclables à 100%.

3,5 millions d’euros d’investissements

Parallèlement, Reboul présentera une nouvelle finition sur l’aluminium : la Perlite. Il s’agit, selon l’entreprise, d’un procédé qui confère à l’aluminium un aspect nacré avec une résistance mécanique bien supérieure à l’anodisation classique. Il offre une déclinaison - inédite dans le monde de la cosmétique - de couleurs pastel.

La société Reboul est spécialiste de l’emboutissage métal et de tous les procédés associés jusqu’à la décoration et l’assemblage pour des pièces de haute qualité. Photo : © Reboul SAS

Ces innovations sont accompagnées par un investissement de 3.5 millions d’euros en 2016, comprenant notamment deux nouvelles lignes d’assemblage de très haute cadence pour les mécanismes.