Setalmaa, le média et l’agence d’études spécialisés sur le marché de la beauté et des cosmétiques en Afrique francophone vient de publier son 2e rapport sur ce marché en mai dernier.

« Plus ambitieuse  », selon Aminata Thior, fondatrice de Setalmaa, cette nouvelle étude :

 détaille l’évolution du marché par rapport à 2020,
 présente les chiffres clés, les tendances actuelles et futures de ce secteur en Afrique,
 donne la parole à des acteurs africains et internationaux incontournables du marché qui partagent des données qualitatives et quantitatives de leur business, offrant une nouvelle compréhension du marché africain.

Enfin, Setalmaa innove en analysant les marchés Asie et Afrique de la beauté pour en ressortir des recommandations fortes à lancer en Afrique et qui permettraient au continent, d’accélérer le développement de son secteur de la beauté et des cosmétiques. Et ce, en gardant sa spécificité africaine.

Parmi les thèmes abordés dans ce nouveau rapport : la persistance de préoccupations traditionnelles des consommatrices du marché, l’apparition de nouvelles tendances, l’explosion des instituts de beauté et des salons de coiffure de milieu de gamme dans les capitales africaines, l’intérêt pour le skincare ou le maquillage, les investissements croissants des marques africaines en R&D, l’entrée de nouveaux acteurs internationaux avec des produits spécifiques, les projets portés par la diaspora africaine, la montée d’une offre locale foisonnante, une analyse comparative avec le marché de la beauté en Asie (en collaboration avec WeOutWow).

Au-delà de l’Afrique francophone, le marché de la beauté en Afrique évolue vite, tiré par la croissance démographique d’un continent d’1,4 milliards de consommateurs potentiels - qui seront environ 2,4 milliards d’habitants d’ici 2050 - avec une classe moyenne croissante.

Dans un tel contexte, de petites et moyennes marques africaines et étrangères innovantes et très flexibles pourront rivaliseront avec des géants du secteur, établis sur le continent depuis plusieurs années,. Évidemment, tout cela engendrera de nombreuses opportunités dans les domaines de la formation, de la distribution, du packaging, etc. Une étape d’industrialisation plus imminente qu’on ne le croit, souligne Aminata Thior.

Pour plus d’infomations : setalmaa.com