Destiné à protéger la peau des méfaits de la pollution, Contacticel est extrait d’une algue rouge peu connue, Acroch aetium moniliforme, qui vit au contact d’autres algues. En association avec d’autres micro-organismes, elle participe à la protection de son hôte contre les agressions extérieures.

Action dermo-purifiante

S’inspirant des propriétés de cette algue, le nouvel actif de Seppic offre à la peau une protection contre la pollution. « En deux mois, il réduit efficacement le sébum des peaux exposées à une atmosphère polluée, avec un effet visible et durable,  » affirme le fabricant d’ingrédients cosmétiques.

La technologie de culture in vitro de cellules de macro-algues marines de SEPPIC permet d’envisager un nouveau sourcing marin pour les principes actifs. Photo : © BiotechMarine et Heos Marine

Selon Seppic, Contacticel présente une activité dermo-purifiante exceptionnelle contre plusieurs polluants (ozone, micro-particules, métaux lourds) grâce à des propriétés combinées.

« 92%1 de la population mondiale vit en effet dans un environnement pollué à l’origine de nombreux dégâts sur la peau, tels que vieillissement prématuré, dysfonctionnements cutanés ou excès de sébum,  » souligne l’entreprise.

Culture cellulaire in-vitro

Après Ephemer, Contacticel est le second actif de Seppic développé avec la technologie Celebrity qui rend ici possible la production de biomasse en grande quantité à partir d’une algue dont la culture et la récolte seraient impossibles en milieu naturel.

Contacticel est extrait d’une algue rouge peu connue, Acroch aetium moniliforme. Photo : © BiotechMarine et Heos Marine

« Cette technologie innovante nous a permis une nouvelle fois de valoriser une espèce marine rare et de s’en inspirer pour créer un actif original au service de la peau. C’est un bel exemple de bioinspiration, » confirme Erwan Le Gélébart, chef de projet R&D chez BiotechMarine.