En réponse aux préoccupations croissantes des consommateurs au sujet de la pollution et de ses effets sur la peau, Lipotec lance Pollushield, un nouvel ingrédient fonctionnel qui aide à prévenir l’accumulation des particules de pollution dans l’épiderme et aide la peau grâce à des antioxydants qui augmentent sa capacité à résister aux dommages causés par les métaux lourds, les particules et autres éléments nocifs présents dans les grandes villes et les autres zones polluées.

« En contact direct avec les polluants contenus dans l’air et dans l’eau, la peau est notre première ligne de défense contre les éléments nocifs de l’environnement. Le vieillissement prématuré et l’inflammation sont associés, entre autres, à l’exposition aux polluants, qui génèrent un stress oxydatif et donc des dommages aux protéines et à l’ADN, ainsi que la peroxydation des lipides. L’irritation ou les allergies cutanées ainsi que la sécheresse cutanée, la peau ridée et terne sont parmi les effets macroscopiques les plus indésirables,  » explique le fournisseur catalan d’ingrédients actifs dédiés aux produits cosmétiques.

Pollushield apporte deux effets complémentaires :

 l’emprisonnement des métaux toxiques par un polymère grâce à des propriétés de chélation du métal qui l’empêchent d’interagir avec la peau,
 une forte action anti-oxydante grâce à un un puissant agent anti-radicalaire, afin d’éviter les dommages oxydatifs sur la peau.

Ce nouvel actif fournit ainsi une barrière entre la peau et les polluants tout en stimulant la défense de la peau.

« Plusieurs tests ont été réalisés afin de démontrer l’efficacité de ce nouveau principe actif anti-pollution, » souligne Lipotec.

In vitro, les cellules épidermiques traitées avec l’ingrédient présentent une viabilité cellulaire des kératinocytes significativement plus élevée en présence de poussière du milieu urbain, permettant de les maintenir à des niveaux proche de la normale.

Ex vivo, la peau traitée exposée à la pollution a conservé une morphologie épidermique et dermique normale tout en affichant une diminution de plusieurs marqueurs de dommages.

Enfin, un test in vivo a également été effectué sur des femmes volontaires qui ont appliqué une crème placebo et une crème contenant 5% de l’ingrédient fonctionnel Pollushield sur chacune des moitiés de leur visage, deux fois par jour pendant 30 jours, tout en étant régulièrement exposées à la pollution de l’air à Pékin, en Chine. « Après 6 heures d’exposition, la peau traitée avec l’actif est significativement moins concentrée en métaux par rapport au placebo, ce qui montre la capacité de l’ingrédient à éviter l’accumulation de métaux dans l’épiderme. À la fin de l’étude, la capacité de la peau à lutter contre les dommages a été améliorée grâce à un pouvoir antioxydant élevé et une diminution des taux peroxydes lipidiques », affirme la société.