Au cours des dernières semaines, les États de Washington, du Vermont et du Maine ont adopté une législation exigeant que l’enseignement des spécificités du soin des cheveux texturés (bouclés, frisés ou ondulés) soient obligatoire dans le cursus de l’ensemble des écoles de coiffure et de cosmétologie de ces États. Ces textes entreront en vigueur au cours des 12 prochains mois.
Plusieurs États ont adopté ce type de législation depuis 2021, notamment la Californie, le Minnesota, le Connecticut, la Louisiane et New York.
Les personnalités politiques qui ont défendu ces lois ont été soutenues par le Textured Education Collective (TEC), une alliance d’entreprises de produits capillaires professionnels fondée par Aveda, DevaCurl, L’Oréal USA et Neill Corporation, sous l’égide de la Professional Beauty Association (PBA).
« La Professional Beauty Association se réjouit de la signature de ces projets de loi historiques sur l’éducation aux cheveux texturés », souligne Myra Reddy, Government Affairs Director de la Professional Beauty Association. « Ces victoires successives alimentent la dynamique du Texture Education Collective en faveur d’une législation similaire à l’échelle nationale, qui ouvrirait la voie à des normes cohérentes et à l’excellence dans l’enseignement de la beauté dans l’ensemble du pays ».
Selon la PBA, ces nouvelles lois viennent combler un vide dans la représentation des 65% d’Américains aux cheveux texturés. Le programme offre en outre un éventail plus large de compétences aux professionnels de la beauté.
« Tout professionnel en herbe mérite une formation qui reflète toute la diversité des types et des textures de cheveux, et chaque client mérite d’avoir accès à des coiffeurs formés pour répondre à ses besoins spécifiques », explique David Greenberg, CEO de L’Oréal USA. « L’Oréal USA félicite les États de Washington, du Vermont et du Maine d’avoir rendu obligatoire la formation aux cheveux texturés dans le cadre de l’obtention d’une certification en cosmétologie. Il s’agit d’une mesure importante pour améliorer les compétences de la communauté des professionnels de la beauté et élargir les possibilités de répondre aux besoins d’un réseau plus large de consommateurs, voire de les dépasser ».
























