Pour répondre à la demande croissante d’alternatives naturelles et performantes aux huiles de silicones [1] dans le soin des cheveux, Seppic a enrichi de manière significative les données d’efficacité disponibles pour Emogreen, sa gamme d’émollients biodégradables d’origine végétale.

Sensorialité similaire

Une analyse sensorielle comparative réalisée avec un panel d’experts démontre la correspondance sensorielle entre les huiles de silicone généralement utilisées dans les produits capillaires et chaque grade Emogreen.

Par exemple, une analyse sensorielle d’un gel-crème sur des mèches de cheveux longs non abîmés a démontré qu’Emogreen L15 offre une expérience similaire à celle du Dimethicone 5cst, avec moins de gras et de collant sur la fibre capillaire, ce qui en fait une solution idéale pour les formulateurs qui cherchent également à remplacer les silicones cycliques volatiles (D5, D6).

Une échelle de comparaison

Seppic a également développé un outil de correspondances entre les principales silicones et la gamme Emogreen pour aider les formulateurs à identifier des alternatives sur les différentes propriétés recherchées : sensorialité, brillance, rétention de la couleur, contrôle du volume...

Seppic a par exemple comparé ses Emogreen à différentes huiles de silicone sur l’efficacité du contrôle du volume sur les cheveux de type III. Emogreen HP 40 offre de meilleures performances en matière de contrôle du volume et d’effet anti-frisottis sur les cheveux texturés. Emogreen C69 peut également être envisagé pour contrôler les frisottis et le volume des cheveux bouclés (type III). Enfin, les qualités sensorielles d’Emogreen L19 en font un bon candidat pour discipliner les cheveux de type II.

« Le marché des soins capillaires connaît une évolution accélérée par les exigences des consommateurs en matière de naturalité et de durabilité. Les silicones, autrefois indispensables, sont de moins en moins utilisés en raison de leur origine synthétique, de leur nature souvent non biodégradable, des préoccupations environnementales et de la perception négative des consommateurs. Les mesures réglementaires, telles que les restrictions de l’UE sur les silicones D4/D5 et les interdictions à venir sur les D5/D6 dans les produits sans rinçage d’ici juin 2026, accélèrent encore cette transition », explique Seppic dans un communiqué.

Selon le fabricant d’ingrédients cosmétiques, les nouvelles données disponibles sur Emogreen montrent qu’il est désormais possible, dans un marché exigeant comme celui des soins capillaires, d’offrir aux consommateurs « une expérience sensorielle premium et des résultats visibles » grâce à une gamme d’origine végétale.