La marque de cosmétiques qui veut faire de la recharge anhydre la nouvelle norme du marché de l’hygiène a présenté sa première eau micellaire à dissoudre. Ce lancement complète la gamme actuelle qui comprend un gel douche, un savon pour les mains, un déodorant et un dentifrice sans eau.

Le concept reste le même que pour les autres produits à dissoudre de la marque : un flacon réutilisable en plastique recyclé (à 50%), alimenté avec des recharges anhydres expédiées dans un étui en carton. Le but est toujours de lutter contre l’utilisation de plastique à usage unique.

Dans le cas de l’eau micellaire, les recharges se présentent sous la forme d’une petite pastille de 2,8 grammes seulement. Une fois en possession de son flacon (offert à la première commande et 4 à 5 fois plus léger que celui d’une eau micellaire standard du marché, selon la marque) et de ses recharges, le consommateur dissout une pastille dans 100 ml d’eau chaude (le volume exact est indiqué par un trait gravé sur la bouteille). Après 3 heures, il suffit de secouer le tout et la formulation est prête à être utilisée.

La formule végane, à base d’extrait d’aloe vera bio, issu du commerce équitable, de concombre bio et de thé vert, est composée à 98% d’ingrédients d’origine naturelle, sans alcool, sans silicone, sans ingrédients éthoxylés. Le produit est fabriqué en France et noté 100/100 sur Yuka

En évitant le transport d’eau et grâce à son flacon réutilisable à l’infini, la marque revendique une réduction par sept des émissions de CO2 et une diminution de la pollution plastique.

L’achat se fait sur abonnement avec un envoi en boîte aux lettres tous les 5 mois.

L’année dernière, 900.care a réalisé une levée de fonds de 10 millions d’euros pour financer sa croissance.