Leander Kritikos, Procos

Spécialisée dans les domaines de la parfumerie et des cosmétiques, de la mode, de la décoration, de la joaillerie, des vins et spiritueux, Procos propose une gamme très large d’emballages promotionnels (sacs en papier et coffrets). Sa production entièrement sur-mesure lui permet de se positionner comme un partenaire privilégié des marques de luxe.

La société, dont le siège est à Munich, en Allemagne, dispose de succursales commerciales en France, à Paris, et aux États-Unis, à La Jolla, près de San Diego, en Californie. L’ensemble de la production est réalisée en Chine, dans le cadre d’une joint-venture et de partenariats industriels.

« Certaines demandes de clients, portant sur des éditions limitées (moins de 1000 pièces) comme des lancements de produits ou des opérations événementielles, peuvent occasionnellement être fabriquées en Europe avec des partenaires privilégiés, » explique Leander Kritikos, président-fondateur.

Respect de l’environnement

Au fil des ans, Procos s’est attaché à développer des produits de plus en plus écologiques. La société propose ainsi depuis 2007 une gamme dite Greenline, entièrement éco-conçue à « un prix presque équivalent » à celui d’un sac classique.

Procos vient par exemple de réaliser une série de sacs pour la marque allemande de cosmétiques naturels, Dr. Hauschka. Le souci de l’environnement a été pris en compte à tous les stades de la production : du choix des matériaux (du papier certifié FSC®) à l’impression avec des encres à base de soja, jusqu’aux finitions avec des colles minérales, et l’utilisation de matières premières renouvelables pour les finitions.

L’entreprise s’est fixée pour objectif de réaliser 100% de ses sacs à partir de papier certifié FSC®.

« Notre objectif est de développer des méthodes et des outils de production nous permettant de réaliser des produits de haut de gamme, tout en réduisant notre impact sur l’environnement, » ajoute Leander Kritikos. « C’est un défi considérable dans un contexte de forte pression sur les prix qui nous oblige également à réduire nos coûts de production, » conclu-t-il.