La Louve, premier supermarché collaboratif (Paris 2015)

Les boutiques s’ouvrent au digital (encore timidement en France), tandis que plaisir, éthique et mobilité restent des drivers forts. Comment les marques et les enseignent sortent-elles de leur zone de confort pour reconquérir leurs clients ? Premier tour d’horizon : [1]

 L’entremetteur. La marque (ou le distributeur) réunit le meilleur de plusieurs univers dans des lieux hybrides qui surprennent le consommateur.
Ex. : Tesco Extra Watford (UK) créé des espaces communautaires à louer gratuitement, propose des cours de sport et upgrade ses espaces beauté et santé avec de nombreux services. Ou comment redonner vie à des lieux de contrainte.

 Le coach. La marque anime son point de vente et transmet son savoir, guide son client dans de nouveaux apprentissages et usages.
Ex. : Aroma-Zone (Paris 6) forme à la cosmétique naturelle à faire soi-même avec un personnel qualifié, des ateliers, des bornes d’information.

 Le Geek. Hyper-connectée et experte des nouvelles technologies, la marque est en phase avec ses consommateurs.
Ex. : Daisy Marc Jacob Tweet Shop et son système de reward via Twitter, Instagram et FB.

 Le néo-humaniste. Altruiste, férue de collaboratif, éco-consciente, la marque s’investit pour un monde meilleur.
Ex. : La Louve, premier supermarché collaboratif (Paris 2015) ou comment faire participer et impliquer les clients pour réduire les coûts des 2 côtés.

 Le connaisseur. La marque s’affranchit des canaux ou codes de distribution classiques pour proposer une nouvelle offre.
Ex. : Benefit propose une trentaine de ses produits makeup et soin dans un distributeur rose flashy, notamment dans une vingtaine d’aéroport US. Bientôt en Europe.

Après avoir magnifié l’expérience client et le sensoriel pendant ces dernières années, place à l’écoute de son client, tout simplement.