Nous savons qu’elles possèdent effectivement de multiples activités précieuses qui sont appréciées et la pharmaco-clinique et la dermato-cosmétique nous le confirment. Mais elles peuvent aussi selon les modalités d’utilisation se révéler être plus ou moins toxiques.

Certaines conséquences peuvent engendrer des troubles divers, notamment sur des populations fragilisées.

Si des phénomènes d’allergie, d’irritation, de photosensibilisation après exposition au soleil ou de dermo-causticité sont bien connus, les phénomènes de neurotoxicité restent à être mieux caractérisés.

Ainsi, pour éviter le risque de neurotoxicité, il est nécessaire d’évoquer les questions suivantes :

 Pourquoi les huiles essentielles ont elles une affinité pour les systèmes nerveux ?
 Quelles sont les molécules toxiques qui ont été identifiées et que peut-on dire sur le plan fondamental des fonctions chimiques qui sont en cause ?
 Quelles sont les sources végétales connues ? Peut-on les supputer à l’avance ?
 Quels cas cliniques ont été décrits ?
 Quels autres symptômes principaux sont connus ?
 Quelles sont les personnes plus particulièrement à risques ?
 Peut-on concevoir des antagonismes au sein de mélanges ?...

Toutes ces questions seront traitées lors de Cosmetidays sur les Huiles Essentielles, les 21&22 juin 2018 à Avignon. Programme détaillé et inscriptions : www.cosmeticdays.com