Depuis 1998, les ingénieurs de Heinz Glas travaillent, entre autres choses, sur la technologie de laquage hydrobase « respectant l’environnement » qui va se révéler un outil stratégique majeur à partir du début des années 2000.

Ils travaillent également sur de nouvelles possibilités de parachèvement autres que la sérigraphie ou le marquage à chaud pour arriver à décorer un flacon sous toutes ses facettes et quelque soit sa forme. Ils sont convaincus que la tampographie est la technologie d’avenir et peut satisfaire les demandes les plus folles…

Tampographie et robotique

Et ils ont raison ! Dans la foulée les ingénieurs réussissent à mettre au point l’utilisation d’encres métaux précieux (or et platine). Du coup le verrier peut déposer aujourd’hui une image quadri, ou bien de l’or ou du platine, à n’importe quel endroit du flacon. La robotique est aussi passée par là grâce à une cellule rassemblant plusieurs personnes spécialement dédiées à cette tâche. Parmi les autres avantages, on peut ainsi optimiser les surfaces décorables (et c’est nouveau en parfumerie pour les métaux précieux), l’automatisation permet de suivre des cadences importantes et la finesse des couches d’encres permet de réduire les quantités de consommables.

Outre la tampographie, les dirigeants d’Heinz Glas ont également décidé d’investir fortement dans la métallisation sous vide. Mais, attention ! Pas n’importe quelle métallisation sous vide. Le choix de la taille et des performances des cloches à vide a fait l’objet de toutes les attentions avec toujours comme crédo, « cadence, flexibilité, qualité et innovation (métallisation translucides et/ou dégradées) ».

Montant global des sommes investies en dix ans dans cette partie parachèvement 15 millions d’Euros !