Jean-Michel Fouilland, le Directeur commercial de MBF Plastiques, explique sans ambages : « A tort ou à raison, notre image s’était petit à petit affirmée dans la pièce technique et brouillée sur le packaging haut de gamme ». Or beaucoup s’en souviennent, MBF, c’était, entre autres, le transformateur d’Yves Saint Laurent pour Opium.

Paco Rabanne’s 1 Million

Dans le cas de « 1 Million », la performance tient à la fois au nombre de pièces assemblées (près de 7) et à la qualité de la finition. « J’ajouterais aussi, explique Jean-Michel Fouilland, la performance en termes d’optimisation des différentes phases de transformation et… de coûts ». Une prouesse technique qui n’est évidemment pas le fait du hasard. «  Nous avons énormément investi dans l’équipe de développement au cours de ces dernières années », avoue M. Fouilland, « en passant de 4 à 20 personnes ! ».

Autre preuve, tout récente, de ce que certains appelleront le retour de MBF sur le haut de gamme, la mise au point de la capsule « Démarq » de Lancôme. Un véritable petit bijou qui allie transparence, finesse, éclat, le tout fabriqué et monté de façon automatique sur des chaînes entièrement robotisées et bourrées de caméras de contrôle.

Enfin, preuve ultime, la mise au point de la capsule Spray-Cap du nouveau parfum « Diamonds For Men » d’Emporio Armani.

À voir… au prochain salon Beyond Beauty Paris.